Présentation
					En route vers Marseille pour y découvrir les calanques. Nous partons à six.
					
Il s'agit d'une très belle traversée, avec de beaux paysages, entre mer et montagne.
Les sentiers, pour la plupart des pierriers, présentent des pentes parfois assez raides, avec quelques passages délicats. Mieux vaut ne pas avoir le vertige et être un randonneur bien entraîné.
					
Nous avons réalisé cette traversée fin octobre, le temps était très agréable, ensoleillé avec peu de vent. Par contre, si vous souhaitez vous baigner, il ne faut pas être frileux.
En dehors des calanques, on croise très peu de personne à cette période de l'année. Quelques chasseurs, quelques marcheurs et des personnes qui viennent juste voir les calanques, à pied ou en bateau.
					
					
Depuis Cassis : Auberge de jeunesse de la Fontasse (Cassis) ou hôtels à Cassis
					
					
Prévoir plus ou moins d'eau suivant la chaleur et la difficulté envisagée. Si vous bivouaquez, en prévoir plus pour les repas. Pour notre part, nous avons pu nous ravitailler en eau au "Nautic Bar", sur le port de Morgiou.
				Il s'agit d'une très belle traversée, avec de beaux paysages, entre mer et montagne.
Les sentiers, pour la plupart des pierriers, présentent des pentes parfois assez raides, avec quelques passages délicats. Mieux vaut ne pas avoir le vertige et être un randonneur bien entraîné.
Nous avons réalisé cette traversée fin octobre, le temps était très agréable, ensoleillé avec peu de vent. Par contre, si vous souhaitez vous baigner, il ne faut pas être frileux.
En dehors des calanques, on croise très peu de personne à cette période de l'année. Quelques chasseurs, quelques marcheurs et des personnes qui viennent juste voir les calanques, à pied ou en bateau.
Comment y aller
Depuis Marseille : Auberge de jeunesse de BonneveineDepuis Cassis : Auberge de jeunesse de la Fontasse (Cassis) ou hôtels à Cassis
Equipement
L'équipement classique du randonneur, un sac à dos 60 L, de bonnes chaussures, des tee-shirts légers, une polaire et un coupe vent, pour l'essentiel.Prévoir plus ou moins d'eau suivant la chaleur et la difficulté envisagée. Si vous bivouaquez, en prévoir plus pour les repas. Pour notre part, nous avons pu nous ravitailler en eau au "Nautic Bar", sur le port de Morgiou.
				Au programme

					Nous avons décidé de traverser les calanques de Marseille à Cassis, sur 3 jours.
					
Nous passerons la nuit suivante en bivouac, entre Sormiou et Morgiou suivant notre avancée.
Puis nous dormirons à l'auberge de jeunesse de la Fontasse (Cassis), où nous devrons prévoir notre propre nourriture.
Pour boucler notre traversée, nous prendrons le train pour retourner à Marseille.
					Où dormir
Nous passons donc la nuit précédant notre randonnée à l'auberge de jeunesse de Bonneveine, à Marseille, en demi-pension.Nous passerons la nuit suivante en bivouac, entre Sormiou et Morgiou suivant notre avancée.
Puis nous dormirons à l'auberge de jeunesse de la Fontasse (Cassis), où nous devrons prévoir notre propre nourriture.
Pour boucler notre traversée, nous prendrons le train pour retourner à Marseille.
Boisson et nourriture
Nous emportons avec nous de la nourriture pour les 3 jours de marche. Cela comprend le petit-déjeuner, le déjeuné le dîné et les encas.Pour ce qui est de l'eau, nous emportons chacun près de 3 litres d'eau (pour la journée et le repas du soir).
Nous nous ravitaillerons quotidiennement en eau à Morgiou puis à l'auberge de jeunesse de la Fontasse.
Chargés !
Bivouac + Nourriture + Eau = sac lourdement chargés (15 kg au bas mot).Cela rajoutera à la difficulté de la traversée.
Détail de notre parcours
Dimanche 28 - Arrivée sur Marseille
Rendez-vous sur Marseille. Nous dormons cette première nuit à l'auberge de jeunesse de Bonneveine.Lundi 29 - 16,164 km / D+ 657 m , D- 444 m
					Réveil à 7:00 pour entamer notre premier jour dans les calanques.
Nous partons après le petit déjeuné à 8:30 en route vers le port de la Madrague où commence notre randonnée dans les calanques. La marche entre l'auberge de jeunesse et la Madrague s'avère longue (une heure environ), un effort qui aurait pu être évité en prenant le bus, d'autant plus qu'il est peu plaisant de marcher en ville avec sons gros sac à dos.
					
Nous y voici, nos premiers pas dans les calanques et déjà nous nous écartons du chemin. Heureusement des chasseurs bienveillants nous indiquent comment retrouver notre chemin.
Nos premières impressions sont plutôt bonnes, le chemin monte bien, le paysage est de plus en plus beau à mesure que l'on prend de la hauteur.
					
On arrive à la première grosse étape de la journée, le sommet du massif de Marseilleveyre qui culmine à un peu plus de 400 mètres. On se rend compte assez tôt que le programme de la journée va être chargé, pas tant en difficulté, mais surtout en distance. Pas le temps de soufflé, il faut reprendre la route.
				
				Nous partons après le petit déjeuné à 8:30 en route vers le port de la Madrague où commence notre randonnée dans les calanques. La marche entre l'auberge de jeunesse et la Madrague s'avère longue (une heure environ), un effort qui aurait pu être évité en prenant le bus, d'autant plus qu'il est peu plaisant de marcher en ville avec sons gros sac à dos.
Nous y voici, nos premiers pas dans les calanques et déjà nous nous écartons du chemin. Heureusement des chasseurs bienveillants nous indiquent comment retrouver notre chemin.
Nos premières impressions sont plutôt bonnes, le chemin monte bien, le paysage est de plus en plus beau à mesure que l'on prend de la hauteur.
On arrive à la première grosse étape de la journée, le sommet du massif de Marseilleveyre qui culmine à un peu plus de 400 mètres. On se rend compte assez tôt que le programme de la journée va être chargé, pas tant en difficulté, mais surtout en distance. Pas le temps de soufflé, il faut reprendre la route.
				
				
					Le sentier descend maintenant. Nous passons plusieurs grottes.
					Nous faisons une halte dans la grotte St-Michel. Pas grand chose à voir à l'intérieur, un coin de fraîcheur.
Nous poursuivons notre route, jusqu'au pas de la Demi Lune, échancrure dans la crête de calcaire au dessus de la calanque de Callelongue. Le passage n'est pas spécialement difficile, mais mieux vaut avoir le coeur bien accroché.
Nous poursuivons notre route, passons le col de la Galinette et peu de temps après, nous nous arrêtons pour déjeuner, il est environ 13:30.
					
Le déjeuné est bref, il ne faut pas perdre de temps, nous reprenons la route.
Nous quittons pendant un court temps les pierres et le calcaire pour un sentier un peu plus boisé, qui nous ramène jusqu'à la mer, à la calanque de Marseilleveyre.
A partir de là, le chemin grimpe à nouveau, mais sur des pentes bien plus douces que celles que nous avons emprunté jusqu'alors. Le trajet longe la côte et c'est vraiment agréable, malgré la fatigue qui commence à peser sur les épaules.
Arrivé au col de Cortiou, le chemin devient plus simple, mais il nous faut marcher sans cesse, car la nuit approche.
Arrivé au col des Baumettes, nous dévions de l'itinéraire prévu et ne descendons pas à la calanque de Sormiou, pour éviter de descendre pour remonter ensuite.
			Nous poursuivons notre route, jusqu'au pas de la Demi Lune, échancrure dans la crête de calcaire au dessus de la calanque de Callelongue. Le passage n'est pas spécialement difficile, mais mieux vaut avoir le coeur bien accroché.
Nous poursuivons notre route, passons le col de la Galinette et peu de temps après, nous nous arrêtons pour déjeuner, il est environ 13:30.
Le déjeuné est bref, il ne faut pas perdre de temps, nous reprenons la route.
Nous quittons pendant un court temps les pierres et le calcaire pour un sentier un peu plus boisé, qui nous ramène jusqu'à la mer, à la calanque de Marseilleveyre.
A partir de là, le chemin grimpe à nouveau, mais sur des pentes bien plus douces que celles que nous avons emprunté jusqu'alors. Le trajet longe la côte et c'est vraiment agréable, malgré la fatigue qui commence à peser sur les épaules.
Arrivé au col de Cortiou, le chemin devient plus simple, mais il nous faut marcher sans cesse, car la nuit approche.
Arrivé au col des Baumettes, nous dévions de l'itinéraire prévu et ne descendons pas à la calanque de Sormiou, pour éviter de descendre pour remonter ensuite.
					Nous marchons encore un bon bout de chemin, puis la nuit approchant à grand pas, nous commençons à
					chercher un lieu pour planter nos tentes. Le chemin se poursuit avec un peu d'anxiété, les uns voulant
					faire marche arrière pour planter les tente sur un parking, d'autres voulant avancer et les autre trop
					fatigués pour donner leu avis. Nous avançons et finalement nous trouvons un lieu assez plat pour planter
					les tentes.
Nous plantons nos tentes sur la crête de Morgiou, précisément au lieu dit "Le carrefour". L'endroit est très exposé au vent, mais heureusement cela ne nous aura pas trop perturbé.
					
Les tentes plantés, nous préparons alors le repas du soir : soupe et salade. Personnellement je suis affamé, c'est aussi le cas des autres garçons. Les filles mangent peu Tout le monde est visiblement fatigué pas la journée écoulée. Le repas terminé, nous discutons un peu à la belle étoile.
Obligé de vivre au rythme du soleil, nous rejoignons par 2 les tentes pour dormir, il est environ 21:30. Evidemment, le sommeil ne viendra que bien plus tard, peu habitué à me coucher si tôt.
				Nous plantons nos tentes sur la crête de Morgiou, précisément au lieu dit "Le carrefour". L'endroit est très exposé au vent, mais heureusement cela ne nous aura pas trop perturbé.
Les tentes plantés, nous préparons alors le repas du soir : soupe et salade. Personnellement je suis affamé, c'est aussi le cas des autres garçons. Les filles mangent peu Tout le monde est visiblement fatigué pas la journée écoulée. Le repas terminé, nous discutons un peu à la belle étoile.
Obligé de vivre au rythme du soleil, nous rejoignons par 2 les tentes pour dormir, il est environ 21:30. Evidemment, le sommeil ne viendra que bien plus tard, peu habitué à me coucher si tôt.
				Mardi 30 - 12,882 km / D+ 527 m , D- 561 m
				
					La nuit même si elle à été longue, notamment dérangé par le vent et la fraîcheur, a été bonne. Réveillé
					vers 7:00, nous déplions les tentes et rangeons nos affaires. Pas l'envie de s'attarder ici, le vent
					s'est levé dans la nuit et nous partons donc pour aller prendre notre petit déjeuné à Morgiou.
					
La route descend jusqu'au port de Morgiou où nous nous installons sur une petite zone de sable assez sale pour préparer le petit déjeuné et prendre ainsi des forces pour la journée. Après le petit déjeuné, nous allons nous ravitailler en eau sur le port de Morgiou, au "Nautic Bar". Là, on nous vend des bouteilles de 1,5 litres pour 2 €, cher, mais indispensable, tant nous avons du boire le premier jour où il a fait assez chaud.
Bien reposés, nous prenons la route, qui nous amène jusqu'à la calanque de Sugiton. Cette calanque est vraiment magnifique, certainement la plus belle des calanques du massif. Mais bien sûr ce charme est dû au fait qu'il n'y ait presque personne, en été c'est tout autre chose et cela perd de son charme. Autour de la calanque, les sentiers ont étés aménagés (rondins de bois, fil de fer...) ce qui réduit un peu le côté naturel du lieu, ce qui est quelque peu dommage, mais étant donnée la fréquentation estivale du lieu, mieux vaut réglementer certaines choses.
				
			La route descend jusqu'au port de Morgiou où nous nous installons sur une petite zone de sable assez sale pour préparer le petit déjeuné et prendre ainsi des forces pour la journée. Après le petit déjeuné, nous allons nous ravitailler en eau sur le port de Morgiou, au "Nautic Bar". Là, on nous vend des bouteilles de 1,5 litres pour 2 €, cher, mais indispensable, tant nous avons du boire le premier jour où il a fait assez chaud.
Bien reposés, nous prenons la route, qui nous amène jusqu'à la calanque de Sugiton. Cette calanque est vraiment magnifique, certainement la plus belle des calanques du massif. Mais bien sûr ce charme est dû au fait qu'il n'y ait presque personne, en été c'est tout autre chose et cela perd de son charme. Autour de la calanque, les sentiers ont étés aménagés (rondins de bois, fil de fer...) ce qui réduit un peu le côté naturel du lieu, ce qui est quelque peu dommage, mais étant donnée la fréquentation estivale du lieu, mieux vaut réglementer certaines choses.
					Après Sugiton, nous abordons 3 km qui grimpent fort (8 % de moyenne). Le sentier longe la falaise des
					toits où nous apercevons des personnes qui font de l'escalade. Nous croisons par la suite un groupe de
					marseillais bien bavards avec lesquels nous échangeons quelques paroles.
La montée est longue, mais sans difficulté majeure. On prend donc notre mal en patience. L'heure du déjeuné arrive alors nous nous arrêtons pour manger. Cette fois, nous prenons notre temps, profitant du soleil, surtout que les cartes semblent indiquer que l'on avance bien.
					
Une fois repartit, la montée s'achève et la route sera maintenant bien plus clémente, mais la fatigue rend forcément plus difficile le moindre effort.
					
Le chemin, en descente, défile vite, nous dépassons le col du Devenson, puis peu de temps après nous croisons un groupe de nudistes (complètements nus, pas facile à croire mais c'est véridique) qui a visiblement froid (devinez comment on le sait). Cette petite anecdote passée, nous poursuivons, notre objectif de la journée n'étant plus si loin (enfin, c'est ce que l'on pensait).
On marche donc en direction de l'auberge de jeunesse de La Fontasse. La proximité de l'objectif nous ferait presque poussez des ailes, mais c'était sans compter sur la mauvaise lecture des cartes, qui semblait indiquer que le terrain est plat et sur le nouveau balisage autour de l'auberge qui ne nous aide pas du tout à trouver notre chemin. L'enchaînement des montées et descentes devient harassant, enfin bref, la fin de journée est rude, les kilomètres passés à porter nos sacs nous ont bien fatigués.
				
				La montée est longue, mais sans difficulté majeure. On prend donc notre mal en patience. L'heure du déjeuné arrive alors nous nous arrêtons pour manger. Cette fois, nous prenons notre temps, profitant du soleil, surtout que les cartes semblent indiquer que l'on avance bien.
Une fois repartit, la montée s'achève et la route sera maintenant bien plus clémente, mais la fatigue rend forcément plus difficile le moindre effort.
Le chemin, en descente, défile vite, nous dépassons le col du Devenson, puis peu de temps après nous croisons un groupe de nudistes (complètements nus, pas facile à croire mais c'est véridique) qui a visiblement froid (devinez comment on le sait). Cette petite anecdote passée, nous poursuivons, notre objectif de la journée n'étant plus si loin (enfin, c'est ce que l'on pensait).
On marche donc en direction de l'auberge de jeunesse de La Fontasse. La proximité de l'objectif nous ferait presque poussez des ailes, mais c'était sans compter sur la mauvaise lecture des cartes, qui semblait indiquer que le terrain est plat et sur le nouveau balisage autour de l'auberge qui ne nous aide pas du tout à trouver notre chemin. L'enchaînement des montées et descentes devient harassant, enfin bref, la fin de journée est rude, les kilomètres passés à porter nos sacs nous ont bien fatigués.
				
				Nous arrivons à l'auberge de jeunesse assez tôt, il est 16:30. Nous en profitons pour faire quelques
				parties de papayou avant que le réceptionniste ne nous donne accès à notre dortoir, où nous nous installons.
				Cela étant fait, nous prenons un semblant de douche, on fait avec les moyens du bord, mais on se sent
				forcément bien plus propre après ces deux jours d'efforts.
L'heure du repas arrive, donc on prépare ce que nous avons porté pour le dîné. Un coin cuisine partagé entre les résidents de l'auberge nous simplifie amplement la tâche. Soupe, pâte, saucisson et fromage nous remplissent gaiement la panse. La vaisselle faite, nous terminons la soirée entre chartreuse et papayou, avant d'aller nous coucher peu avant 22:00, la journée aura été longue.
			
			L'heure du repas arrive, donc on prépare ce que nous avons porté pour le dîné. Un coin cuisine partagé entre les résidents de l'auberge nous simplifie amplement la tâche. Soupe, pâte, saucisson et fromage nous remplissent gaiement la panse. La vaisselle faite, nous terminons la soirée entre chartreuse et papayou, avant d'aller nous coucher peu avant 22:00, la journée aura été longue.
			Mercredi 31 - 10,768 km / D+ 192 m , D- 259 m
Ce troisième jour de marche dans les calanques est bien plus reposant. Pour preuve, nous ne partons de l'auberge de jeunesse qu'un peu avant 10:00, après avoir pris le temps de prendre notre petit déjeuner.Direction au sud, vers la calanque un belvédère qui nous permettra de voir la calanque d'en Vau. Le chemin descend tranquillement et nous y arrivons assez vite. Là nous apprécions la vue et le soleil le temps d'une bonne pause.
Nous repartons vers la calanque de Port Pin. Une fois arrivés, nous constatons que la calanque est moins belle et plus fréquentée. Peu importe, nous trouvons un coin assez calme où nous nous installons. Deux personnes ont le courage d'aller se baigner dans l'eau froide pendant que nous trempons simplement nos pieds. Après cette baignade, nous déjeunons en prenant notre temps dans ce cadre agréable, perturbé par moment par le passage de bateaux qui viennent et repartent aussitôt pour que les touristes à bord puissent voir de près la calanque.
			Le repas achevé, nous reprenons route, en faisant un boucle dans la pointe de Cacau, avant de partir vers Cassis. On arrive assez vite dans Cassis, ce qui explique le nombre de personnes dans la calanque de Port Pin. En route, on longe la calanque de Port Miou qui est maintenant transformée en port de plaisance pour les multiples bateaux qu'on y trouve.
				
					Puis nous marchons dans les rue de Cassis, vers le centre ville. Nous traversons une petite plage puis
					arrivons sur le port de Cassis. Nous y faisons une halte à un bar pour boire un verre bien mérité après
					toute cette marche.
					
Voilà, notre traversée des calanques touche à sa fin, nous devons maintenant rentrer sur Marseille. Pour cela, nous marchons jusqu'à la gare de Cassis. Près de 3 longs kilomètres, une fois de plus pas très intéressant à faire à pied, surtout lorsque la fatigue est omniprésente.
Arrivé à la gare, nous patientons pour prendre le train qui nous ramène sur Marseille. De là, nous prenons le métro puis le bus jusqu'à l'auberge de jeunesse de Bonneveine, la boucle est bouclée.
					
On y retrouve la civilisation et notamment les plaisirs d'une bonne douche chaude, suivie d'un dîné vraiment réussi.
Nous sortons après le dîné sur les plages du Prado pour nous installer dans un bar et y boire un verre. C'est la soirée d'halloween, mais pour nous, passé 22:00, il est temps d'aller nous coucher.
			Voilà, notre traversée des calanques touche à sa fin, nous devons maintenant rentrer sur Marseille. Pour cela, nous marchons jusqu'à la gare de Cassis. Près de 3 longs kilomètres, une fois de plus pas très intéressant à faire à pied, surtout lorsque la fatigue est omniprésente.
Arrivé à la gare, nous patientons pour prendre le train qui nous ramène sur Marseille. De là, nous prenons le métro puis le bus jusqu'à l'auberge de jeunesse de Bonneveine, la boucle est bouclée.
On y retrouve la civilisation et notamment les plaisirs d'une bonne douche chaude, suivie d'un dîné vraiment réussi.
Nous sortons après le dîné sur les plages du Prado pour nous installer dans un bar et y boire un verre. C'est la soirée d'halloween, mais pour nous, passé 22:00, il est temps d'aller nous coucher.
Jeudi 1 - Départ
					Dernier jour, Olivier part dés 7:00 pour rentrer à Liège, en Belgique.
					
Nous plions bagage après le petit déjeuner, direction Notre Dame de la Garde puis le vallon des Auffes près duquel nous déjeunons, avant de nous quitter, peu avant 14:00.
					
Je retrouve Eric sur le Vieux Port, d'où nous partons faire un tour dans le quartier du Panier avant de nous poser prendre un verre en terrasse, au soleil, pour finalement partir à la gare, rentrer sur Paris.
				Nous plions bagage après le petit déjeuner, direction Notre Dame de la Garde puis le vallon des Auffes près duquel nous déjeunons, avant de nous quitter, peu avant 14:00.
Je retrouve Eric sur le Vieux Port, d'où nous partons faire un tour dans le quartier du Panier avant de nous poser prendre un verre en terrasse, au soleil, pour finalement partir à la gare, rentrer sur Paris.
				Bilan sur la randonnée
La traversée des calanque est une bonne randonnée, à ne pas prendre à la légère, même si les dénivelés ne sont pas énormes, l'enchainement des montées et descentes finit par fatiguer. Le cadre est agréable et bien préservé (sauf les quelques calanques trop fréquentées).Prendre en compte le temps pour randonner, le vent peut souffler très fort.
				Bien équilibré les différents jours
Le premier jour était vraiment trop long, ce qui nous aura d'emblée assommé.Le deuxième jour, était d'une difficulté bien plus raisonnable.
Le troisième jour était quant à lui vraiment plus tranquille.
Partir léger
Il faut vraiment prendre le strict minimum, éviter tout ce qui est superflu, surtout si vous compter bivouaquer, le matériel (tente, sac de couchage, réchaud, casserole, couverts...) pèse lourd. Un petit mot d'ailleurs sur le bivouac: il est officiellement interdit, mais officieusement toléré, il convient donc d'être respectueux des lieux et aussi discret que possible. Planter les tentes au couché du soleil et les plier dés le levé du soleil.Quand Partir ?
L'été, il n'est pas possible de traversé les calanques, le risque d'incendie est trop important et du coup, l'accès à une grande partie des calanques est fermé.L'hiver, il fait tout de même froid et les courtes journées réduisent le plaisir.
Le printemps et l'automne sont les saisons idéales pour partir.
Combien de temps ?
Il est possible de traverser les calanques en 1 jour, mais évidemment pour cela il ne faut quasiment rien porter et être en bonne forme.Au delà d'un jour, plusieurs scénarios sont possibles.
- bivouaquer sur place, il faudra porter plusieurs kilos sur le dos.
 - découper les journées pour dormir en ville. A vous d'organiser vos déplacements, par exemple, on pourrait imaginer faire Madrague > Luminy le premier jour puis Luminy > Cassis le deuxième jour.
 - l'UCPA propose des activités diverses dans les calanques, randonnées, escalades, kayak...
 
