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Lisbonne - [Parque das Nações] |
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Samedi 31 juillet |
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Comme convenu, après avoir pris notre petit déjeuner au camping, nous partons à Cacèm
pour déjeuner chez Paula avec Raul et grand-mère, à 12H30. Nous arrivons, Raul aussitôt
nous enlève pour aller avec lui chercher du poulet frit, dans un petit magasin du
Cacèm : à cette heure là, l'air commence à se réchauffer, l'agitation des jours de
marché est encore présente et tout cela donne une petit cocktail de jouvence où il
fait bon vivre en prenant son temps.
De retour, nous mangeons, sans Raul, qui dans son étourderie permanente en à oublier
de prendre des chips, donc fait l'aller retour pour en prendre (rassurez vous, c'est
très classique au Portugal de remplacer les bonnes frites par des chips, pourquoi ?
je ne sais pas !).
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Après le repas, nous partons avec Raul vers le Parque das Nações :
il s'agit du site de l'exposition universelle de 1998 qui s'était déroulée à Lisbonne.
Cela à notamment permis de redynamiser ce côté là des docks de la ville, qui jusque là
était une zone industrielle désaffectée.
L'architecture est moderne avec des formes cubiques, sphériques, pyramidales...
Certains édifices dominent l'ensemble, notamment le
Pavilhão Atlantico,
salle de spectacles, ou encore la Torre Vasco da Gama, le plus haut bâtiment
de la ville, en forme de voile, ainsi que le Ponte Vasco da Gama, le plus long
d'Europe (17km).
Pour continuer dans la démesure, un téléphérique relie les deux extrémités du site, en
longeant le Tage, offrant ainsi une vision assez intéressante des lieux.
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L'Oceanário de Lisboa
vaut le détour. Il abrite le deuxième aquarium le plus grand au monde, autour duquel
sont organisés différents espaces qui recréent les habitats des océans Atlantique,
Pacifique, Indien et Antarctique avec leur faune et leur flore respectives. Les espèces
animales (poissons, oiseaux, mammifères) qu'on y retrouve sont extrêmement
diversifiées : on passe des requins marteau, aux loutres puis aux hippocampes...
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Il faut une bonne journée pour voir l'ensemble du Parque das Nacões, qui ne manque pas
de divertissements, de jour comme de nuit.
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Après avoir fait une petit tour des lieux, nous partons vers le centre de Lisbonne, où
nous marchons dans la rua Augusta, depuis l'"Elevador de Santa Justa" jusqu'à la
"Praça do Comércio".
Le soir, nous dînons dans le restaurant où travaille le père de Raul, qui lui aussi
nous accueille avec grand plaisir. A souligner, la nourriture était bonne et bon
marché, chose qu'il me semble difficile de trouver à Lisbonne, du moins sur ce que
j'en aie ressentit lors de ce cours passage.
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Après le dîner, nous partons vers les autres docks de la ville : As Docas, l'un
des lieux les plus animés de la ville, notamment en ce samedi soir.
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Je vous dépeint les lieux : le long des docks donc, sur environs 800 mètres,
s'enchaînent bars, pubs, discothèques et autres lieux pour festoyer dans une
cacophonie orchestrée par tous ces sites.
Le long de la rive, se tiennent les terrasses, pleines en été, face aux bars, séparés
par l'allée centrale où lorsque vous marchez 5 mètres, la musique et l'ambiance
changent en fonction du bar : à vous de choisir.
Le lieu est très convivial, on y trouve tous types de personnes, des jeunes aux moins
jeunes, tous désirant passé une bonne soirée.
Nous nous installons donc dans un bar, en terrasse et discutons autour de quelques
verres.
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La soirée passe, les esprits et les corps s'échauffent, l'euphorie plane aux alentours.
Ce soir là, c'est moi qui ramène la voiture, malgré mon mal de ventre et ma grande
envie de dormir. Très bonne occasion de découvrir la voiture de location !
Et oui, le cousin c'est légèrement soulé la gueule, en pensant draguer la serveuse
du bar où l'on s'est installé. 1000 personnes s'y sont risquées avant lui et on s'y sont
cassés les dents. On devrait interdire de draguer les serveuses dans las bars et
discothèques, c'est peine perdue.
Pour la petite anecdote, Raul étant notre "guide" à Lisbonne, nous nous rendons très
vite compte qu'il connaît très peu la ville, sa devise en voiture étant :
"Sempre en frente, assim que es ou caminho.". Littéralement,
"Tout droit, tel est le chemin à suivre", histoire de dire que si on ne connaît pas
le chemin, autant aller tout droit, au feeling.
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